Les coeurs

Les cœurs locaux

Nous comptons une soixantaine de groupes de soutien dits « Cœurs locaux » en France, en Suisse, en Belgique, en Pologne, au Burkina Faso, à Madagascar, en Martinique, à La Réunion…

Chaque cœur se réunit, chaque semaine, pendant 1h30, dans toute la France et à l’étranger, pour partager, écouter et prier.

La rencontre hebdomadaire du « cœur local » autour du chapelet

Le chapelet : notre bâton de pèlerin.

Intercéder auprès de la bienheureuse Vierge Marie nous aide à marcher dans la foi en Jésus. Nous faisons tous l’expérience, lors de nos rencontres, que Marie nous soutien avec douceur, et nous tourne vers son Fils.

Coeur pélerin

Chaque réunion commence par un temps d’accueil, qui est très important, c’est là que nous partageons sur ce que nous vivons, dépendants et co-dépendants, donnons des nouvelles des malades que nous portons et visitons. Puis, nous prions le chapelet et terminons en récitant la prière des Pèlerins de l’Eau Vive.

Pour le chapelet, nous disposons d’un livre de méditations du chapelet créé et édité par les « Pèlerins de l’Eau Vive ».

Ces réunions sont animées par des personnes engagées dans la mission que nous appelons des « veilleurs ».

Une réunion chaque semaine est importante : cela convient à l’amitié fraternelle, au support de notre faiblesse, à une guérison progressive. Ouvrir totalement notre cœur : c’est ainsi que chacune de ces réunions deviennent une bouffée de la tendresse de Dieu.

Le lieu

Quand cela est possible, nous nous réunissons généralement dans une chapelle ou un lieu d’Eglise.

Prendre soin du lieu où nous rencontrons permet de disposer notre cœur :

  • Disposer une ou deux icônes et quelques bougies,
  • Mettre notre pancarte de la mission,
  • Prévoir des feuilles ou livrets de chants, et le livre de méditations du chapelet

Une règle indispensable : la discrétion et la confidentialité !

  • Qu’elle soit absolue sur ce qui s’est passé pendant la réunion.
  • Aucun commentaire sur les personnes.
  • Un groupe de prière se parfait à l’usage et prend sa physionomie propre.